11 sept. 2009
Minuit dans le Jardin des Heures
À minuit dans le jardin des heures,
S’égraine le temps des instants.
La valse des aiguilles qui ont peur,
De l’ombre, des vagues et du vent.
À minuit dans le jardin des heurts,
S’entrechoquent les âmes blanches,
Et dans le bruit brisé des cœurs,
Des larmes coulent et s’épanchent.
À minuit dans le jardin des pleurs,
On ne peut crier de peur d’éveiller,
Le souffle des soupçons de douleur,
Ces démons qui guettent, prêts à tuer.
À minuit dans le jardin des heures,
Ces instants des peurs blanches,
Ont brisé mon cœur de douleur,
Ont soufflés les aiguilles du temps
Et là ou les larmes s’épanchent,
Reste l’ombre, les vagues et le vent.
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J'aime beaucoup le titre de ce poème...ainsi que les deux premières strophes.
RépondreSupprimerMais la deuxième partie du texte gâche un peu le poème par manque de musicalité selon moi (il y a des problèmes de rythme.
Un passager de nuit.
je ne sais pas ce qui l'a fait normalement ce jardin finit en jardin des larmes sur une peau la mienne et nos corps il a tout changé... il a oublié....
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