Si vous n'en lisiez qu'un !

23 juil. 2009

Pour une Muse



Tes écrits sont l’essence qui fait battre mon cœur,
La chaleur en mes veines, qui m’emplie de douceur,
Si tu n’étais venue, au détour d’un poème,
Je serai resté pendu, là, face blême,
Attendant dans le froid de la nuit,
Un pas, un espoir, un sourire, un bruit,
Et tu as pointé le bout de ton nez,
Muse angélique aux ailes dorées,
Avec ces flèches, à cupidon volées,
Mon cœur tu t’es amusée à transpercer,
Asservissant mon âme à la tienne,
Par tes chants empruntés aux sirènes,
Jamais avant, je n’avais rencontré,
Une femme poète si attentionnée,
Soucieuse de nos moments délicieux,
Simplement heureuse de partager ce peu,
Ma modestie n’a d’égal que la tienne,
Car ces flots de mots te reviennent…