Si vous n'en lisiez qu'un !

1 avr. 2009

Au souvenir des heures


Et si la vie était un leurre,
Agité de magiques lueurs,
D’aubes ou l’on s’endort,
Les yeux plein de l’or,
D’un soleil couchant,
D’une lune d’argent,
Et si la nuit portait les heures,
Où les songes se couvrent de pleurs.

Si la vie était les pleurs d’un ange triste,
Au souvenir des heures d’une valse d’étoiles.

1 commentaire:

  1. Ton texte me parle beaucoup, j'étais justement en train d'en écrire un sur ce thème. Modifié, remodifié, je n'arrive pas à le publier. Finalement le tien parle pour moi. Merci :)

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