Je rêvais, l'autre nuit, qu'aux splendeurs des orages, Sur le parquet mouvant d'un salon de nuages, De terreur et d'amour puissamment tourmenté, Avec une lascive et svelte Bohémienne, Dans une valse aérienne, Ivre et fou j'étais emporté
il ne reste qu'au creux de ma main l'écume des larmes d'une douleur passée, imprégnée elle forme les lignes de ma vie, mon histoire, mes souvenirs mes rêves et ma destiné.
il ne reste qu'au creux de ma main l'écume des larmes d'une douleur passée, imprégnée elle forme les lignes de ma vie, mon histoire, mes souvenirs mes rêves et ma destiné.
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