Si vous n'en lisiez qu'un !

11 févr. 2009

Aux Splendeurs des Orages


Je rêvais, l'autre nuit, qu'aux splendeurs des orages,
Sur le parquet mouvant d'un salon de nuages,
De terreur et d'amour puissamment tourmenté,
Avec une lascive et svelte Bohémienne,
Dans une valse aérienne,
Ivre et fou j'étais emporté

1 commentaire:

  1. il ne reste qu'au creux de ma main l'écume des larmes d'une douleur passée, imprégnée elle forme les lignes de ma vie, mon histoire, mes souvenirs mes rêves et ma destiné.

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